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la première de ces figures accessoires constitue la seule lacune, laissée dans la réunion des œuyres de l'artiste danois au musée biographique de Copenhague. Le cippe avec buste du célèbre oculiste Yacca, ,que nous avons revu, avec les cénotaphes de tant d’Italiens illustres, so.us les arcades gothiques du Campo-Santo de Pise, entre les murailles que décorent les fresques émou­ vantes dqs peintres italiens du XIYe siècle, porte encore le cachet .du 'talent éminent de Thorvaldsen, aussi puis­ sant dans une œuvre simple que dans un monument solennel. Son mausolée de Byrpn est d’une énergique poésie, digne du barde qui voulut mourir en héros. Les années passaient sans ralentir la verve du sculp­ teur ni modérer son travail. Poursuivant l’exécution des,monuments grandioses que nous ayons rappelés, con­ tinuant l’œuvre religieuse qu’attendait Copenhague, il exécutait de nombreux portraits de princes, de personnages célèbres, de riches amateurs. Walter Scott et un radjah lui demandèrent des bhst.es presque le même jour. Cette période de son second séjour à Borne a laissé moins de statues mythologiques qu’on n’en voyait autrefois sortir de son atelier. L’artiste se devait à ses mécènes : il n?avait plus le loisir de chercher des sujets dans l’antiquité classique. Il n’oubliait cependant point les allégories de la Grôoe, ni surtout les épisodes des poèmes d’Homère. Entre les maquettes de ses figures religieuses, les croquis de ses compositions monumentales, les esquisses de ses bustes,