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mède, du Jason et des Psyché. Dans ces oeuvresattiques, on admire le génie du maître et l’élégance du sculpteur. Ganova, qu’on a souvent comparé AThorvaldsen n’a, ni la correction anatomique, ni l'harmonie exquise^ ni surtout la poésie spiritualiste,, souvent mêlée d’une ;tendre mélan­ colie, du maître Scandinave,- Chez cefe deux Athéniens modernes, les sujets antiques1reprennent leur noblesse. L’élégance des contours les dote d’un charme saisissant,, d’.unè grâce suave. Visant tous deux à la beauté radieuse que Phidias et ses émules avaient pu étudier sous le ciel de là Grèce,