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mon uniforme de capitaine et après la messe je me rends une dernière fois à la caserne de la garde; je dis adieu à tous les sous- officiers, auxquels je reste bien attaché. En­ suite je me rends chez le roi et le prince royal pour les remercier de cette bonté qu’ils in’ont toujours témoignée. Le soir, les officiers de la garde m’ont « invité » à leur dîner annuel. Devant ma place, se trouvent deux petits drapeaux français et danois, un menu peint par un lieutenant qui a passé par les zouaves. Touchante attention 1 Le colonel prononce un long toast pour moi, vraiment trop élogieux. Je lui réponds, très ému. Des adieux, des adieux de tous côtés. EL déjà je reçois des cadeaux de mariage de tous depuis l’impératrice de Russie, la prin­ cesse de Galles et les princes danois. La garde me donne une ravissante patte d’épau- ettc de soldat, en vermeil, avec les noms des