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Dialogues*

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L’ainé cft Cornette dans un Régiment deDra­ gons 3 vous voyés le fé­ cond , letroifiemecftCon- feiller au Parlement* le quatrième eft encore, à rUrrivcrfité* Et Mlles, vos foeurs, elles doivent être bien grandes J elles promet^ toient tout ce qu’on peut de mieux. L’ainée eft déjà mariée & la fécondé cft fur le point de l’être. J’en luis ravi; je n’ûi jamais vu une plus char* mante famille* Mais de grâce , où lo­ gés vous.-? Quand êtes- vous arrivé ? A l’inftant; nous fom- mes logés à l’Hôtel royal. Je n’ai rien eu de plus prefté que de venir vous faire ma vifite & renou- veller notre amitié. Je vous aftiirc qu’elle ne t’eft point ralentie.

SDett celbftc er (Eontet t ct£>raqonci* 9 tegiment; ben anben feer $De; t>eu trebie cr $>ai*lament3 ; Dtaab; beu frcrbc er cub* nu paa Univerjttetet. £)gSDcrcSgrefctt @0î fîvc marte vcm meget flo? re; belovebe altmucligt ®obt. 3ben Q(£lbjïc er ait q ift, og ben anbcn et paa OJeppet at Olive bet„ © e t glceber mig ; jeg fa r albtifi feet en tneer inbtagenbe ^amitié» tiften, jeg OcberSDcnt, 6 vou Ooct* 3)c? üîaarer & e anfommen? 3 bette J 0 teftftf; vi logere i Jpotcl Üiopal. S'eg £ar iffe ilet meb noget tneer enb at Oefa^ gc £)ent, ogfompe vort QJcnjïaO*. 3 'eg forfïffrer £)em rttbetiffecrfonmub^ett