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Dialogues
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Aucunement *d’ailleurs on eft toujours dédoma- gé, quand on voit !on ami. Nous ne faifons pref- que que de rentrer; nous avons fait un tour en vil le & quelques emplettes. Il efi deux heures Ton nées, nous nous en irons quand il vous plaira ; fi nous tardions plus long- tems, ma femme pour- roit commencer par nous gronder. Elle auroit raiTon; ce feroit mal reconnoître les foins que de la faire at tendre. Madame, j’ai l’honneur de me préienter devant vous, comme un ancien ami de Mr. votre epoux. Soyés les bien - venus, Mrs, je vois toujours avec plaifir les amis de mon mari. Afl’eyés - vous. Voulés-vouS prendre un petit verre de liqueur, en attendant qu’on fervè.
9 (!be!e 6 iffc ; titan er ctlcrô altib fï'abesled, naar matt fccr fin $ 3 ett. Q}t fomntcr, faaatfîge, mjelig inb igien; m b a v e giort en îour i £3t)cn ^3 noflleSnbfte^ ^tloffen cr flagctt to, tiittügaae, ttaarSDebe* fcager; becfont vûljolbte 06 lomgcreop, bafmtbe ittitt .ftonc Oegpnbc ntebat ffiettbe paa os. Jpvmjïhtlbc ftaucOlct. &et oac fTet at erftcnbe ïjenbes Dmhpggcligfjeb, at labc (jenbe 6ie^ $ n te , jeg fjar beu Q@ce at fotejltttc mig foc £ 5 cnt, font en gamme! £>eu af $>cred ®ema!* SDe jïal ociceoclfonii ntett, mine Recrée, )eg feec a!tib meb^onteielfc «tin $Kaub6 Rentier»
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