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une dernière fois pour saluer de notre feu des tirailleurs, et le village est enlevé d’as saut à la baïonnette. Sur le bord de la plage, nous tirons sur des cibles représentant des barques. Cela m’amuse beaucoup. L’exercice est fini. La critique suit ; entre autres choses j’entends : «Le Flôjmand de droite charge trop lentement son arme ; les distances sont bien évaluées ». Nous rentrons au camp asti quer les fusils, que les sous-officiers exa minent avec attention. La retraite sonne faux le soir. La journée du lendemain est consacrée au tir par compagnie ; mais, suivant le règle ment, au-dessous de huit cents mètres, chaque lieutenant règle le tir de sa section. Cette journée m’amuse beaucoup moins ; il n’y a pas de charge à la baïonnette, au bruit de hourras frénétiques, ce que j ’adore. Le G septembre, nous quittons le camp pour faire place à un bataillon de ligne qui
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